Gérald Chevillon - saxophones basse et soprano, flûte à bec
Antonin Leymarie - batterie
Rémy Poulakis - accordéon, clavier, chant lyrique
Damien Sabatier - saxophones alto, sopranino et baryton
Sortie du creuset de la bouillonnante Compagnie Impérial, Impérial Orphéon s’affirme depuis plus de dix ans comme une formation atypique à l’énergie explosive. Ces quatre musiciens poly-instrumentistes virtuoses, à la complicité sans faille, vous embarquent dans un concert qui devient vite une invitation à la danse, au son d’une musique puissante, généreuse et inattendue à travers des folklores de tous bords : aux emprunts brésiliens se mêlent des transes orientales, les valses s’invitent dans des grooves magnétiques, des mélodies lyriques planent sur une pop héroïque. Le Fantôme de l’Opéra rode gaiement dans la sphère de ces doux allumés, tout comme l’esprit du jazz régulièrement invoqué dans ce kaléidoscope sonore des plus mirifiques.
À l’origine, ces quatre musiciens se sont retrouvés pour être l’orchestre d’un cabaret de cirque et faire vivre un bal lors du festival Tant Qu’Il Y Aura Des Mouettes (avril 2010) de la Cie Galapiats Cirque. Face à l’évidence de l’expérience, l’univers festif lié à la danse et l’atmosphère propre au chapiteau conduira Impérial Orphéon à poursuivre cette voie-là. Inventer une musique originale, qui puisse faire librement voyager et danser les gens.
Depuis Impérial Orphéon a fait pas loin de 200 concerts à travers la France, mais aussi en Espagne, Lettonie, Lituanie, Estonie, Biélorussie, Finlande, Guatemala, Honduras, Salvador, Panama.
Un groupe qui a joué dans les cafés concerts, les clubs de jazz, sous des chapiteaux, dans des scènes nationales, dans la rue, dans de nombreux festivals.
Son univers musical lui a permis de briser les barrières stylistiques propres à certains lieux de diffusions. Non identifié dans un genre, le groupe joue aussi bien dans des salles pluridisciplinaires, des festivals de cirque, de rue, de jazz, que lors balades musicales. C’est une réelle force de proposition qui les emmène à croiser tous les publics, de tous les âges.
Crédit photo : Marc Ginot